Une tragédie vire au cauchemar sur le barrage de Hinamizawa !

LYNCHÉ ET DÉPECÉ !

Le ** du mois de ****, un meurtre horrible à vous faire glacer le sang a été perpétré sur le chantier du barrage hydroélectrique de Hinamizawa, dans le district de Shishibone, dans la préfecture de ****.

L'histoire a créé des remous dans toute la péninsule, et pourtant la police reste étrangement silencieuse sur les événements...

Que peut-il donc bien se passer ?

— Je pense qu'ils n'avaient pas l'intention de tuer.

Mais lorsque la victime a pris une pelle pour s'en prendre à ses agresseurs, ils se sont munis eux aussi d'armes et les violences ont escaladé jusqu'au meurtre.

Telle est en tout cas la version des faits rapportée par un proche de l'enquête.

Lorsque la colère fut retombée, il ne restait devant ces hommes qu'un cadavre salement amoché...

C'était le chef du chantier, M. ****, connu pour ses brimades et sa violence quotidienne envers les ouvriers.

Au départ, ils voulaient simplement lui donner une leçon...

— Les agresseurs ont eu peur des conséquences de leur geste.

L'un d'entre eux a même voulu se dénoncer à la police.

Mais un autre d'entre eux, M. ****, désigné comme le cerveau, décida de cacher le corps.

Il réussit à convaincre la plupart, qui avaient trop peur de faire de la prison.

Ils étaient six et le chantier leur offrait amplement la possibilité de cacher le corps. Tout aurait dû se passer sans problème.

Ils auraient dû cacher le corps et s'en aller...

Mais ****, encore lui, a eu peur que l'un d'entre eux ne craque.

Il a alors trouvé une méthode horrible pour s'assurer du silence de ses compagnons.

Il proposa de découper le corps de **** et donna à chacun la responsabilité de cacher un morceau bien précis du corps.

— En faisant passer l'affaire d'une altercation mortelle à un meurtre avec circonstances aggravantes, **** pensait avoir trouvé le moyen le plus sûr d'obtenir le silence de ses compagnons.

En les impliquant jusqu'au cou dans l'affaire...

Mais comment ?

Notre source déclare, d'un ton lourd et grave :

— Il a ordonné à chacun de découper soi-même la partie du corps dont il lui faudrait se débarrasser.

Ils n'étaient bien sûr pas tous d'accord, mais ils ont tous fini par le faire.

Il faut boire le vin jusqu'à la lie...

C'est ainsi que commença un rituel particulièrement macabre.

— Les agresseurs ont dû découper le corps, certains en pleurant, d'autres en vomissant. **** leur disait qu'un macchabée de plus ou de moins ne faisait plus une grosse différence, ils ont donc bien été obligés de le faire.

Mais ce plan machiavélique ne tint qu'une seule nuit.

L'ouvrier ***, qui avait rechigné le plus à la tâche, dut aller le lendemain à l'hôpital pour se faire soigner des blessures reçues pendant l'altercation. Il craqua pendant sa consultation et avoua le meurtre...

Les agresseurs furent arrêtés les uns après les autres, mais il manque encore le cerveau de l'affaire, M. ****.

De plus, la police n'a pas retrouvé la partie du corps que celui-ci devait cacher.

La police fait des recherches depuis maintenant plusieurs jours, mais l'homme leur échappe.

Il a apparemment trouvé une bonne méthode...

Que fait la police ?

— Il semblerait qu'il ait dit vouloir cacher le corps (le bras droit, NdlR) dans le marais.

Les enquêteurs ont effectivement trouvé sa voiture, abandonnée, près du marais. Mais il n'y a absolument aucune trace de pas autour.

**** craignait plus que tout que les autres le dénoncent.

Il n'est pas impossible qu'il ait décidé de changer de cachette, pensant qu'il se ferait dénoncer quand même.

— Oui, c'est une possibilité.

Mais il faut admettre que sans voiture, son champ d'action et ses possibilités de fuite sont très restreints.

Certains au commissariat pensent qu'en voulant se débarrasser du corps, il serait lui-même tombé dans le marais, où il serait mort noyé.

Ce marais est réputé être un marais sans fond dans la région.

Les gens l'appelaient autrefois Onigafuchi (les abysses des démons) et ils pensaient que le fond du marais menait au pays des monstres et des démons.

**** était d'une cruauté proprement monstrueuse.

Ne serait-il pas tout simplement rentré chez lui, au pays des démons ?

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