Rena

— Toute l'équipe et les membres du groupe 07th Expansion, créateurs de ce jeu-roman,

vous remercient d'avoir acheté leur première œuvre, Le sanglot des cigales : enlevés par les démons

Rena

Alors, qu'en pensez vous ?

Rena

Nous serions vraiment très honorés si le jeu pouvait vous avoir intéressé.

Satoko

— Ne serait-ce qu'un peu !

Cette fin terrifiante ma vraiment mise en colère, vous savez ?

Rika

— ...Nous sommes en colère.

Rena

— Ahaha !

Il semblerait que ce jeu, enlevés par les démons, ne soit que le prologue,

un peu comme le premier tome d'une série de romans.

Satoko

— Ah oui ? Et le premier chapitre de l'histoire démarrerait donc par cette fin si noire, si définitive, si sibylline ?

Mion

— Hmmm, mais tu sais, ça existe déjà, ce genre de trucs.

Mion

Il y a des jeux où le joueur doit explorer à fond toutes les mauvaises fins du jeu pour comprendre comment les pièges sont posés et se servir de ces découvertes pour finir le jeu proprement et obtenir la vraie fin.

Rika

— Ce n'est que le premier tome de l'histoire. Pour ma part, je suis impatiente de connaître la suite.

Mion

— Ah oui, tiens, d'ailleurs, que pourrait-il se passer après ça ?

Rena, tu es au courant de quelque chose ?

Rena

— Oui. En fait, le prochain tome explorera un autre aspect de la même histoire. ... Enfin, c'est ce que j'ai entendu.

Satoko

— C'est une formulation peu claire.

De quoi s'agit-il donc, en somme ?

Rena

— Eh bien, dans ce tome, l'auteur a présenté la série de meurtres qui a été commise à Hinamizawa.

Rena

Dans le prochain jeu, il nous présentera le village tel qu'il était par le passé, et l'origine de certains de ses rites ancestraux.

Mion

— Toutes ces morts plus bizarres les unes que les autres font un petit peu oublier tout ça, mais la malédiction de cette fameuse déesse Yashiro, c'est quoi au juste ?

Mion

Et d'ailleurs au fait, il n'a même pas expliqué qui c'était, cette déesse.

Rena

— Euh, attendez voir..... Je n'ai rien entendu à ce sujet,

mais franchement, j'ai un mauvais pressentiment...

Rika

— Ça va encore une fois être une histoire impie, avec du sang et des tripes partout, que du bonheur, quoi. La malédiction risque de frapper à nouveau.

Mion

— Kei va se retrouver encore une fois dans un sacré pétrin !

Je me demande comment il va mourir la prochaine fois, tiens...

Satoko

— Je dois reconnaître que je suis pour ma part curieuse de découvrir la suite des événements !

Ôishi

— Aaahahaha, désolé d'être en retard, mesdames.

Tomitake

— Salut les filles !

Alors, ça y est, c'est fini ?

Mion

— — — Oui, c'est enfin fini ! Et vous, comment ça va ?

Tiens, mais...? Ben...? Il est où Kei ?

Tomitake

— Il est déjà en train de lire le script du prochain jeu.

En tant que héros de l'histoire, il en bave, le pauvre !

Rena

— Oh...

c'est dommage.

Il aurait pu au moins venir un petit moment.

Rika

— ... ... Je parie que les programmeurs ont oublié de le dessiner, et que c'est pour cela qu'il ne peut pas venir.

Ôishi

— Voyons, voyons, mademoiselle, dans le jargon des adultes on dit Pour des raisons indépendantes de notre volonté dans ce genre de situations.

Hehehehe !

Tomitake

— En tout cas... c'était une sacrée histoire, dites-donc ! Surtout les rôles tenus par Rena et Keiichi.

Satoko

— Une sacrée histoire, vous dites ? Aucun adjectif ne pourrait vous faire arriver au compte, mon cher ami, nous sommes dans le nec plus infra, si je puis dire!

Rena

— Finalement, je me demande qui a bien pu attaquer Keiichi.

Tomitake

— À mon avis, c'est un humain qui a fait le coup, et qui maquille la scène du crime pour faire croire à une malédiction.

Rika

— Oui, mais souvenez-vous du dernier appel téléphonique.

Mion

— Oui,

moi aussi je le trouve louche.

Mion

À ce moment du récit, Kei devait pourtant avoir eu la preuve irréfutable que les coupables étaient des humains...

Satoko

— Oui, c'est vrai que la conversation était fort étrange.

Il me semble qu'il parlait d'une sorte de fantôme qui l'avait poursuivi, n'est-ce pas ?

Rena

— Si on se base seulement sur l'appel téléphonique, il faut bien admettre que le meurtrier ne peut pas être un humain...

Ôishi

— Tiens, puisque nous y sommes, j'aimerais bien avoir votre avis sur la question.

Qu'en pensez-vous, mademoiselle Sonozaki ?

Mion

— Je suis sûre que le meurtrier est un humain !

Mion

Il se sert des anciennes légendes et croyances de Hinamizawa pour mettre en scène tous ses meurtres.

Rena

— C'est vrai que c'est trop gros,

tous ces meurtres qui ont lieu juste une fois l'an, précisément le jour de la purification du coton.

Mion

— D'ailleurs, je parie que c'est pour recréer une vieille légende qu'il faut qu'il y ait une série de meurtres et pas un seul !

Satoko

— Eh bien moi, je pense que ces meurtres sont effectivement l'œuvre d'une malédiction !

Satoko

Souvenez-vous donc de ce qu'il s'est passé dans le vestibule, et puis surtout relisez le dernier passage dans la cabine téléphonique ! Le meurtrier ne peut pas être un simple humain, cela ne tient pas debout !

Rena

— Hmmm, tu n'as pas tort...

Je vois mal comment un être humain aurait pu réussir des choses pareilles.

Tomitake

— Mouais, ouais, je vois ce que vous voulez dire, mais je pense quand même que les meurtriers sont des humains.

Tomitake

Si vous regardez bien, Keiichi était au bout du rouleau dans ces deux scènes, je pense qu'il s'est posé en victime paranoïde.

Satoko

— Pourriez-vous parler avec un vocable plus courant ??

Rika

— En gros, il avait tellement peur qu'il a cru voir des choses. Il a eu des hallucinations, si tu préfères.

Satoko

— Mais alors, la présence qu'il a ressentie derrière lui, c'était celle de qui ?

Mion

— Un hareng rouge. H-a-r-e-n-g R-o-u-g-e.

Rena

— Qu'est-ce que tu veux dire par là, Mii ?

Mion

— Comme l'a dit Tomitake, ces scènes sont des hallucinations paranoïdes.

Mion

Mais en les décrivant à grands renforts de petits détails et de descriptions précises, l'auteur fait croire au joueur que tout cela se passe réellement.

C'est donc un piège !

Satoko

— — Hmmm... certes... certes, il faut bien admettre... Mais...

Tomitake

— Ahahahaha, ne vous en formalisez pas, voyons, c'est juste une théorie !

Rena

— Mais dans ce cas... Vous pensez que c'est l'inspecteur Ôishi qui a raison, avec sa théorie du complot ?

Rena

D'ailleurs, qu'est-ce que vous en pensez ? C'est votre personnage, tout de même.

Ôishi

— Qui, moi ?

Héhhéhhé...

Hmmmmmmmm...

C'est pas évident, hein.

Tomitake

— Ah bon ?

J'étais persuadé que vous penchiez pour la théorie d'un meurtrier humain.

Ôishi

— Dans le script, je l'affirme haut et fort, c'est vrai, mais si le meurtrier est effectivement un être humain, alors il y a des tas de choses qui ne tournent pas rond.

Rena

— C'est-à-dire ?

Allez-y, expliquez nous un peu ce que vous en pensez !

Ôishi

— Eh bien tout d'abord, si le meurtrier est un humain, il a forcément un mobile.

Il faut donc trouver à qui profite le crime.

Mion

— Donc vous pensez qu'il faut absolument que le meurtrier y gagne quelque chose ? Sinon, ce n'est pas un humain qui a fait le coup ?

Ôishi

— Tout à fait.

Tant que les victimes étaient liées directement au développement du barrage, cela était plausible, mais les victimes n'ont progressivement plus rien à voir avec la choucroute.

Ôishi

Et puis de toute façon, Keiichi est un gamin, qui pourrait profiter de sa mort ?

Tomitake

— Hmmmm, je vois...

C'est vrai que vu sous cet angle, je ne saurais pas trop quoi vous répondre...

Satoko

— Il n'y a même pas eu d'argent ou d'objets de valeurs dérobés.

Le meurtrier n'est pas un être humain, je vous dis !

Rena

— Oh, mais il n'y a pas que l'argent, tu sais ?

Rena

C'est peut-être comme l'a dit Mii, quelqu'un qui cherche à recréer quelque chose du passé...

Mion

— Exactement.

Ce n'est pas un meurtre pour s'enrichir.

Je pense que les meurtres ont un rapport avec une réalité historique du village, une sorte de rituel ou un sacrifice.

Rika

— Et donc, à qui profiteraient ces sacrifices ?

Tomitake

— Ce n'est pas une question de profit, en fait, ce serait plus... psychologique.

Tomitake

Je pense que c'est une sorte de vengeance.

Tomitake

En rapport avec le village, peut-être.

Tomitake

C'est sûrement un aspect qui n'a pas encore été développé dans le jeu !

Ôishi

— Aaaah, je vois.

Ôishi

Un peu comme toutes ces séries à la télé où le descendant d'une noble famille, anéantie ou persécutée des siècles auparavant, vient prendre sa revanche sur les descendants des villageois ?

Ôishi

Je ne sais pas trop... je n'aime pas ce genre de films.

Mion

— Ben alors quoi, vous n'allez pas nous dire que vous penchez pour la malédiction ?

Satoko

— Eh bien si !

De toute façon, il est policier, et la police a toujours raison.

Il y a donc bien malédiction !

Ôishi

— Le personnage de Maebara s'imagine que la déesse prend possession du corps de Rena et de Mion pour commettre ses forfaits.

À bien y réfléchir, c'est ce qui permettrait d'expliquer le plus de choses.

Malheureusement.

Rena

— Vous savez, sur ce point je suis d'accord avec vous.

Rena

Rena et Mion étaient tellement gentilles, je ne vois pas comment ni pourquoi elles seraient devenues cruelles et méchantes du tac au tac... mais si un être surnaturel prend possession de leur corps, là, tout s'explique...

Mion

— Hmmm...

...

Pour tout vous dire, je crois que c'est ma faute. Je veux dire, celle de mon personnage, Mion.

Rika

— Ouh là Mii, je sens poindre le mal de crâne...

Tu pourrais t'expliquer ?

Mion

— Ah, oui, comment dire...

En fait...

En fait, je crois tout simplement que c'est une histoire très triste et très cruelle.

Rena

— Comment ça, Mii?

Mais, alors, tu penses que...?

Tomitake

— Oui, toutes les pistes mènent à cette conclusion.

Moi aussi, malheureusement, j'ai bien peur que ce soit ça.

Ôishi

— Donc en fait, les deux filles sont vraiment méchantes depuis le début, et s'en sont donné à cœur joie pour rouler le nouveau venu dans la farine.

J'ai raison ?

Satoko

— J'aime pas ca du tout !!!!!

Waaaaaaaaaaaaaa !!!

C'est une malédiction !

Rena et Mion sont des gentilles !

Rena

— Mais oui,

moi aussi je pense que les filles sont des gentilles.

Il y a sûrement une explication aux scènes où elles se comportent si bizarrement, elles étaient peut-être possédées...

Mion

— Toi aussi, tu penches pour la malédiction ?

Mion

D'accord, alors, juste un truc.

Mion

Il doit bien y avoir une raison pour laquelle Keiichi a été maudit, non ?

Mion

Je pense pas que la déesse tire à plouf-plouf pour savoir qui elle va maudire.

Mion

Alors comment vous expliquez ça ?

Satoko

— C'est une divinité,

comment voulez-vous que nous sussions ce qui lui passe par la tête ??

Tomitake

— Mais voyons, Satoko,

si les dieux ont un visage humain, c'est parce que ce sont les humains qui les ont imaginés.

Ils pensent donc aussi comme des êtres humains.

Regarde les dieux de la mythologie grecque, par exemple.

Tomitake

Il leur arrive de rire, de pleurer, ils sont jaloux, colériques... tout à fait comme des êtres humains.

Rena

— Alors quoi ? Vous voulez dire que la déesse Yashiro est comme les êtres humains ? Elle maudit les gens parce que cela peut lui rapporter quelque chose ?

Tomitake

— C'est une formulation un peu bizarre, mais c'est à peu près ça, oui.

Ôishi

— C'est comment déjà le proverbe ? Ne touchez pas à un dieu, il ne vous maudira pas.

Je suppose qu'il y a du vrai dans les vieux dictons !

Rika

— Donc que le meurtrier soit humain ou pas, il y a une raison, c'est bien ça ?

Satoko

— Mais oui, mais Rika,

si nous ne pouvons pas découvrir cette raison, laquelle des solutions serait-elle la bonne ?

Rika

— J'en sais rien, ma grande.

Rena

— Ahahahaha !

Oui, c'est vrai,

ce n'est que le début de l'histoire, après tout.

Il doit y avoir des tas de choses qui ne nous ont pas été révélées.

Tomitake

— Oui,

à l'heure actuelle, il serait difficile de résoudre le mystère.

Mion

— Pas grave !

Moi, je ne pourrais pas m'arrêter en chemin, il faut que je tire ça au clair !

Satoko

— Vous êtes têtue Mion...

Mion

— Ahahaha !

Mais non, j'essaye de tirer parti au maximum des ressources limitées qui sont à ma disposition.

Ça vous rappelle pas un peu le club, à l'école ?

Rena

— Ah, si, oui !

C'est vrai que ça pourrait être marrant de se creuser la tête dessus !

Ôishi

— Bon, eh bien faisons le point.

Je suis pour la théorie de la malédiction.

M. Tomitake, vous êtes pour la théorie du meurtrier humain, c'est bien cela ?

Tomitake

— Oui,

je mise là-dessus.

Mion

— Moi aussi, sur l'humain !

Je veux dire, j'aime bien l'aspect mystérieux que donne cette histoire de malédiction,

mais à mon avis, c'est de la poudre aux yeux.

Ôishi

— Ils sont deux pour l'humain.

Et vous Rena, vous êtes pour la malédiction, n'est-ce pas ?

Rena

— Oui.

Vous pouvez nous y compter, Satoko et moi.

N'est-ce pas, Satoko ?

Satoko

— Oh que oui !

Je parie sur la malédiction !

Rena et Mion ne sont pas des méchantes, ceux qui disent ça devraient être maudits, pour la peine, tiens !

Mion

— Bah hein, tu sais, euh...

Moi aussi je n'aime pas penser que mon personnage est un méchant, mais bon.

Il faut garder la tête froide !

Si tu te laisses emporter par les émotions, tu risques de perdre, tu sais ?

Ôishi

— Allons donc,

ce n'est pas si grave, choisissez la solution qu'il vous plaira.

Rena

— Mais au fait, Rika ? Tu n'as encore rien dit.

Tu en penses quoi ?

Rika

— ... Je crois que la déesse Yashiro n'est pas une méchante.

Tomitake

— Tiens, tiens, ça c'est intéressant, par contre.

Rika

— Si elle ne sait faire que maudire les gens, alors je préfèrerais arrêter de perpétuer son culte.

Autant vénérer un dieu qui m'aide ou qui me soutienne dans les moments difficiles, non ?

Rena

— Aah, c'est vrai, tu es la prêtresse du village, après tout.

Oui, j'aime bien ta façon de voir les choses.

Mion

— Ben alors quoi ?

Si tu penses que ce n'est pas la déesse,

c'est que tu choisis la théorie du meurtrier humain, alors ?

Rika

— ... On va dire ça comme ça.

Ôishi

— Ah... Nous avons un problème, alors.

Il y autant de voix d'un côté que de l'autre !

Donc la moitié penche vers la malédiction quand l'autre moitié pense plutôt à des humains ?

Tomitake

— Rena, juste pour information,

pourriez-vous nous dire ce que les lecteurs de la beta du jeu en ont pensé ?

Rena

— Hmmm.

Oui,

c'est bien ça, alors : la plupart des lecteurs pensent que les coupables sont des êtres humains.

Mion

— Aha ! Alors, alors, alors, vous voyez bien !

Les pros à ce genre de jeux savent garder la tête froide, eux !

Rika

— Tu oublies de dire que la beta ne contenait pas tout le texte, aussi.

Rena

— Oui, il manquait beaucoup de choses.

D'ailleurs, il est possible que certains des testeurs de cette version changent d'avis en lisant la version définitive du texte !

Mion

— Bon alors on fait quoi ?

C'est moit'-moit',

ça le fait pas, quoi.

Tomitake

— C'est pour ça qu'il y a toujours un nombre impair de jurés au tribunal, pour éviter ce genre de situations.

Il nous faudrait encore l'avis d'une autre personne...

Rena

— Ah !

Ben alors, autant demander à Keiichi, non ?

Par téléphone !

Rika

— C'est lui qui est mort, son avis sur la question est très important.

Satoko

— Allez quérir un téléphone, sur-le-champ !

Rena

— Allô, Keiichi ?

C'est Rena à l'appareil.

Tu es occupé, là, ou bien tu peux prendre une pause ?

Keiichi

— Nan, j'ai pas que ça à foutre.

Je croyais pouvoir me reposer, mais à peine le boulot terminé, l'auteur m'a mis le script de la suite dans les mains !

Mion

— Et alors, il dit quoi le Kei ?

Il est occupé ?

Rena

— Tu parles,

il boude, oui.

Keiichi

— Eh, je vous entends, je vous signale !

Bande de salauds, ça va, c'est la fête, la vie est belle ?

Moi aussi j'aurais voulu venir, vous savez !

Rika

— ... Quand l'auteur se sera bougé les fesses pour vous dessiner, vous pourrez venir aussi.

Satoko

— Voyons, Rika, il ne fallait pas le dire, c'était censé rester secret...

Rena

— Oui, enfin bref, Keiichi, on voulait te demander...

Durant cette histoire,

Keiichi,

tu es...

...

mort, n'est ce pas ?

On était en train de se demander si le meurtrier était humain ou pas.

Mion

— Oui, en gros, est-ce que c'est un humain qui a fait le coup, ou est-ce que c'est vraiment une malédiction ? Nous n'arrivons pas à nous départager.

Rena

— Désolée, hein !

Je sais que tu as autre chose à faire, avec le prochain script et tout...

Alors, tu en penses quoi ?

Keiichi

— La solution crève les yeux, pourtant !

Rena

— Et donc ?

Keiichi

— C'est pas une ou l'autre, c'est les deux !

Keiichi

Les villageois sont complètement tarés et veulent ma peau, et en plus il y a une déesse pas normale dans sa tête qui m'a maudit !

Keiichi

C'est les deux ! Humains et malédiction !!!

Keiichi

C'est injuste !!

Rika

— ... Ah là là, pauvre petit.

Je te caresserai la tête la prochaine fois, va, pleure pas.

Tomitake

— Nous ne sommes pas plus avancés.

Ôishi

— Je crois que je vais relire le tout et je vais continuer à y réfléchir.

J'ai peut-être raté l'un ou l'autre indice pendant la première lecture.

Rena

— Bon, eh bien vous ne serez pas déçus du tome suivant, Le sanglot des cigales : la purification du coton. Bonne lecture, et amusez-vous bien !